En effet, les liens entre les différents éléments de l'histoire que posent les personnages qui créent du fun autour de la table n'étaient pas forcément évidents. On peut le deviner, mais ce n’est pas forcément évident. J'aime beaucoup notamment le concept du metteur en scène qui va permettre d'avoir recours à des mécaniques de jdr traditionnels alors qu'on est clairement dans un jeu à narration partagée. Ça semble offrir beaucoup de modularité.
Je m’intéresse à un hack possible pour adapter avec psychodrame de la bitlit tel que je l’apprécie. Je m'explique, il y a pour moi deux sortes de bitlit :
* La vieille école. On a recours à des personnages hauts en couleur qui sont des personnages très dur soumis à un monde en changement auquel ils ont du mal à d'adapter et où la romance, mais aussi les sentiments fort avec d'autres protagonistes de manière plus générale va s'imposer à eux. La puissance/les victoires des personnages peut sembler un peu absurde, mais est toujours justifier par la ténacité/les liens qu'ils ont tissés entre eux/le courage/la folie/le sens du sacrifice/la perte de quelque chose,etc..."
"La nouvelle école. Les personnages sont aussi hauts en couleur, mais très archétypaux, on peine à trouver de la cohérence dans leurs actions et leur schéma psychologique reste extrêmement simple. Les péripéties s’enchaînent très vite et on a un recours plutôt intensif au cliffhanger."
Ma question est donc simple, selon toi psychodrame est-il adapté à ma définition de la vieille école ?Statistiques: Publié par Arjuna Khan (Fabric) — 19 Jan 2014, 17:31
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